La paix au milieu d’un combat d’apocalypse
Être dans la paix au milieu d’affrontements
___ Non seulement Jésus exhorte ses disciples à ne pas avoir peur, mais il promet de leur donner la shlama, la paix intérieure : “Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Que votre cœur cesse de se troubler et de craindre” (Jean 14,27 ‒ à ne pas confondre avec la shayna, la paix extérieure, sociale).
___ Saint Paul dit de même : “Frères, soyez dans la joie, perfectionnez-vous, consolez-vous, ayez un même sentiment, vivez en paix ; et le Dieu d’amour et de paix sera avec vous (2Co 13,11). Et saint Pierre : “Réjouissez-vous de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l’allégresse lorsque sa gloire apparaîtra. Si vous êtes outragés pour le nom de Christ, vous êtes heureux, parce que l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu, repose sur vous… si quelqu’un souffre comme chrétien, qu’il n’en ait point honte, et que plutôt il glorifie Dieu à cause de ce nom” (1P 4,13-14.16).
___ En Occident et depuis des dizaines d’années ou plus encore, on a oublié que le combat contre le Mal fait partie de la vie chrétienne ; les chrétiens persécutés pour leur foi étaient marginalisés, voire parfois moqués. Pourtant, “Nous savons que nous sommes de Dieu, alors que le monde entier est au pouvoir du Mauvais” (1Jn 5,19). Selon le bilan de l’année 2021 établi par l’association Portes Ouvertes, “plus de 360 millions de chrétiens sont fortement persécutés ou discriminés dans le monde”, notamment en Afghanistan, au Myanmar (Birmanie), Corée du Nord, Qatar, Yémen, Libye. Croyons-nous que “si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance” (1Co 12,28) ?
___ Ne pas s’en soucier et se croire confortablement à l’abri était un piège. Et le piège s’est refermé sur l’Occident et sur ses chrétiens majoritairement endormis. Sous le prétexte absurde d’une « guerre sanitaire », des intérêts mondiaux ont abrogé de fait les lois en vigueur et ainsi réussi, par une sorte de coup d’État, à introduire un contrôle dans tous les aspects de notre vie.
___ Le terme « d’expérimentation » à propos des pseudo-vaccins s’impose ici ; selon diverses études américaines, les lots de ces pseudo-vaccins sont différents dans le temps et d’après la région, selon une régularité entrecoupée par des lots apparemment peu toxiques (voir également ici ou encore ici), ce qui permet de mieux évaluer les « résultats ».Ceci est très révélateur d’un dessein délibéré et comportant divers objectifs[1] ; ces objectifs paraissent être au nombre de trois :
- ‒ faire accepter une concentration informatique tous les aspects de la vie, publics et privés, et donner ainsi un contrôle général, par ce qui reste des structures étatiques, aux intérêts privés qui possèdent aujourd’hui le contrôle de ces mêmes États et des fichiers informatiques ‒ il s’agit des projets de « Green Pass », nom donné généralement aux « pass sanitaires » et qui sont indépendants de tout prétexte sanitaire : ils sont inspirés par le « crédit social » chinois[2], permettant de punir tout citoyen non conforme aux désirs du pouvoir, jusqu’à organiser sa mort sociale (par blocage de ses comptes bancaires, interdiction faite à ses amis de le rencontrer, etc.) ;
- ‒ réaliser un marquage numérique universel, dans le corps même des injectés (plus besoin d’implanter des puces) : ce marquage est potentiellement détectable par les capteurs Bluetooth (y compris par des portables non bridés), et il semble que l’oxyde de graphène y joue un rôle facilitant, selon des brevets connus en partie seulement car les puces nanométriques que l’on discerne dans certains lots sont supposées ne pas exister encore ;
- ‒ voir comment ne pas tuer trop massivement : les effets de chaque lot sont étudiés, notamment les lots qui contiennent de l’oxyde de graphène dont les effets sont dévastateurs, le but étant de voir quelle concentration maximale injecter sans provoquer trop de décès (à moins que ce soit l’inverse : déterminer des doses minimales mortelles). Ceci étant, faire produire massivement par le corps des protéines spike qui sont toxiques (ce qui est le propre des injections à l’ARn) s’avère déjà mortel dans bien des cas, et il semble qu’il y ait encore d’autres composants non déclarés dans certains lots de ces injections (voir également ici), notamment des parasites vivants. Certains analystes ont fait un lien avec l’écologisme mondialiste qui considère les humains comme des êtres nuisibles à la terre-mère, et qui veut en éliminer une partie.
___ À ces trois objectifs, on pourrait ajouter un préalable, une sorte de moyen nécessaire : harasser et stupéfier l’esprit des gens par la peur (du Covid et de la mort) et par des répétitions d’injonctions absurdes et souvent contradictoires ‒ ce qui, dans l’histoire, ne peut être comparé qu’aux obligations liées à la charia islamique ‒, avec pour effet de saper toute rationalité et vie spirituelle.
___Ce terrorisme pervers s’est attaqué particulièrement aux enfants, déjà par une anti-éducation, et depuis deux ans par l’obligation absurde des masques qui compromettent leur socialisation et leur équilibre en cachant les visages, ainsi que par la « vaccination » ; celle-ci entraine des décès qu’on ne pourra pas camoufler indéfiniment, même si cette affiche du métro parisien les présente comme une éventualité normale, comme si les enfants pouvaient avoir des AVC ou des problèmes cardio-vasculaires : il s’agit d’assassinats certes aléatoires (selon les lots principalement) mais délibérément programmés (le directeur de l’OMS y a fait allusion clairement)[3].
___ Devant cette situation que même des non-chrétiens qualifient « d’apocalypse », un passage central de ce texte vient à l’esprit : “À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle (la Bête) fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front, afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là : le nom de la Bête ou le chiffre de son nom” (Apocalypse 13,16-17). Remarquons que Jean ne peut pas préciser où sera la marque ; il la présente comme une sorte d’anti-marque par rapport à ce qu’il voit chez des chrétiens : en effet, certains portaient le signe de la croix marqué sur le front selon la prescription d’Ez 9,4.6 ‒ rappelée en Ap 9,4 ‒ à cause du jour du Jugement[4], tandis que d’autres le portent sur la main ou plutôt sur le poignet, comme le font courageusement les chrétiens coptes d’Égypte aujourd’hui encore. En fait, la « marque de la Bête » ne serait pas sur un endroit précis du corps, mais dans le corps lui-même. Au reste, selon la législation US, un organisme vivant génétiquement modifié appartient à la firme qui a déposé le brevet de sa modification ; c’est justement le cas ici…
___ L’ampleur du mal est proportionnelle à l’endormissement de l’Église d’Occident durant tant d’années. Mais Dieu n’abandonne pas son peuple, et un immense réveil des consciences a lieu[5], et il sera même violent quand la masse des décès et des maladies causées par les pseudo-vaccins ne pourra plus être dissimulée (ou voir ici). Cependant, sortant de leur envoûtement collectif, combien se tourneront vers Notre Seigneur ? Que penseront-ils des évêques vaccinateurs enragés qui, heureusement, ne sont pas ceux de France ? Ou de tous ceux qui ont cautionné et même répercuté le discours covidien terroriste et mortifère ? Qui canalisera la colère et le désespoir de tous ceux qui réaliseront qu’ils ont été trompés, qui se retrouvent dans la misère, ou qui ont perdu un être cher ?
___ Réjouissons-nous des énormes prises de conscience en cours partout dans le monde, ainsi que du recul des absurdités « sanitaires » dans beaucoup de pays d’Europe, ce qui aura un effet chez les autres ; mais restons vigilants : rien n’est gagné. Probablement dans le but de détourner l’attention, une mini-guerre se prépare en mer Noire/Ukraine, même s’il ne pourrait s’agir que de manipulations de la peur, spécialement durant les jeux olympiques de Pékin. Selon la vive recommandation de Notre Seigneur, prions pour les ennemis de l’Église et du genre humain, car le combat est d’abord spirituel :
“Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent” (Mt 5,44 + Rm 12,14).
P. Edouard-Marie
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[1] Rappelons que « la vaccination » a été décrétée par la Commission Européenne pour 2022 … dès 2018, donc avant le prétexte covidien.
[2] https://qactus.fr/2022/01/25/urgent-lapres-covid-sera-bien-le-climat.
[3] L’allusion de Tedros Ghebreyesus est parfaitement claire (il n’a pas achoppé du tout sur le mot « children ») : « Nous ferions mieux de nous concentrer sur les 60/65 ans qui ont plus de risques de développer une forme grave et de mourir plutôt que d’utiliser des doses de rappel pour TUER des enfants comme dans certains pays ». Auparavant il avait déjà dit qu’on ne devait pas « vacciner » les enfants.
[4] Tertullien (±157- ±220) l’indique dans ce passage : “Cette lettre Tau des Grecs est en effet notre T, la forme de la Croix qu’elle préfigurait telle qu’elle serait [un jour] sur notre front” (Adversus Marcionem, III, 22,6).
[5] Voir en particulier les infos journalières que donne Silvano Trotta.
Sur ce site, des infos concernant les contenus non déclarés des vaccins – malheureusement, le n° du lot concerné n’est pas indiqué, ce qui expliquerait mieux les différences d’un lot à l’autre : https://www.crashdebug.fr/des-nanotechnologies-dans-les-vaccins.
En 1956, dans L’obsolescence de l’homme, le philosophe juif Allemand Günther Anders écrivit cette réflexion prémonitoire :
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées…
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique le niveau & la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste..… que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissant, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s’interroger, penser, réfléchir.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions matérielles nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un produit, un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité, son esprit critique est bon socialement, ce qui risquerait de l’éveiller doit être combattu, ridiculisé, étouffé…
Toute doctrine remettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.«